pour lever le doute, voici comment utiliser « assert » en Python :
1) Pour la mise au point,
dans ce cas le message est destiné au programmeur :
2) Pour l’utilisateur,
alors, on lui mitonne le message :
On utilisera « assert » pour s’assurer d’une relation comme dans :
Au bout de ce long cheminement, je constate ton sourire
qui en dit long sur le plaisir de se comprendre, de te faire comprendre,
de s’y retrouver. Retraçons les dernières étapes,
et commençons par les prémisses :
L’un de exercices que j’ai envoyé par mail contenait une erreur de typo
que j’ai rectifiée par sms
L’un des exercices du dernier contrôle était stressant ;
et pas de réponse à la question sur les variations de la suite.
Continuons avec les évocations autour de la méthode cartésienne :
Descartes, préfigure le siècle des lumières, et participe à conforter la réflexion scientifique
en contrepoint de la rhétorique :
De plus, en mathématiques, nous utilisons les équations cartésiennes et le repère cartésien.
L’une des questions du jour : choisir et justifier l’une des réponses (QCM)
qui semble mal posée, confuse et provoque le désarroi à la lecture.
Disposant de notre libre arbitre, il est possible de contrer ce sentiment
et d’opposer la volonté de comprendre en remarquant les Si … alors de l’énoncé
L’autre question
Conduit au calcul :
donc
accompagné de commentaires (heureusement verbalisés) aucune des réponses ne convient… , ou bien mes calculs… La conclusion serait alors d)
Faute de disposer d’une approbation, il est possible de jeter un dernier coup d’œil, et de se raviser
Qu’en dire ? Sinon répéter que les difficultés ne sont pas mathématiques,
c’est notre méthode de travail qu’il faut perfectionner.
se départir des a priori, (la question est mal posée, mes calculs …)
aux appréciations sur l’énoncé ou sur moi-même, opposer une volonté de comprendre.
Descartes dit aussi dans le Discours de la méthode, qu’il s’agit d’un doute méthodique.
Le fait de penser demande d’introduire une méthode.
C’est sur le sujetpensant que se fondent désormais la connaissance, la morale et le droit.
Être sujet, c’est rendre raison des choses et de soi-même, c’est s’affirmer comme être humain libre et responsable.
et
Cette pensée, je pense, donc j’existe, est la première et la plus certaine qui se présente à celui qui conduit ses pensées par ordre.
Qu’il pose en principe parce qu’il n’est pas possible de penser et de distinguer le vrai du faux
sans préalablement poser l’existence de celui qui distingue.
« Mais il y a un je ne sais quel trompeur très puissant et très rusé, qui emploie toute son industrie à me tromper toujours.
Il n’y a donc point de doute que je suis, s’il me trompe ; et qu’il me trompe tant qu’il voudrail ne saurait jamais faire que je ne sois rien, tant que je penserai être quelque chose.
De sorte qu’après y avoir bien pensé, et avoir soigneusement examiné toutes choses, enfin il faut conclure, et tenir pour constant que cette proposition : Je suis, j’existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit. »
En pratique, nous pouvons ne pas être victime des illusions, des (res)sentiments et des stress
pour peu qu’on y oppose la décision et la volonté de s’assurer d’avoir réalisé, compris la question.
La réflexion peut s’éloigner du détail des calculs mathématiques rencontrés.
Bien entendu que les connaissances importent et sont déterminantes de la réponse.
Cependant, le méta-langage est ce qui favorise l’aboutissement du travail
et conduit ) se départir des mésaventures et des errements hors sujet.
Le métalangage met en évidence ce qui est noyé dans la masse.
Le paragraphe du haut contient, lui aussi, une lettre « T » parmi les « L ».
Dans le deuxième paragraphe il est plus facile à identifier.
L’idée directrice qui se faufile
Et ce n’est pas en cherchant au petit bonheur la chance qu’il aurait été possible de trouver.
Ce résultat est convaincant parce qu’il coïncide avec ce que nous avions l‘intention de trouver,
ce que nous avions pressentiet que nous nous sommes efforcés de comprendre puis de calculer,
c’est-à-dire une approche en compréhension et non une approche en extension.
Pour essayer un résumé (ici, les liens mènent à plus de compréhension)
Parménide (lien) noue la pensée, l‘être/non-être et le tiers exclu dès l’antiquité.
Puis les Grecs anciens, préoccupés par la compréhension des textes barbares (lien),
proposent traduction (Hermès), dialectique (thèse-antithèse-synthèse) et rhétorique.
Descartes, propose, en contrepoint, une méthode scientifique,
qui fera beaucoup de place à l’esprit géométrie au détriment de l’esprit de finesse. (Pascal).
Expliciter le but, desceller l’intention, s’approprier le texte en le traduisant, faire le détour (lien)
– en fonction de quels critères juge-t-on le caractère correct ou incorrect d’une interprétation ?
– élucidation
– toute compréhension se meut dans un cercle herméneutique
– affirmation d’une fonction constitutive du langage
– Les manières de penser incorporées dans les institutions gouvernent la manière dont les membres de la société étudiée par le sociologue se comportent.
– Si je caractérise[…] je l’évalue en même temps que je le décris
– l’interprétation de type herméneutique est elle-même une enquête. – « Seule l’explication est méthodique », écrit-il. La compréhension ne l’est pas, mais elle «enveloppe l’explication», notamment parce qu’elle la précède, tandis que l’explication « développe analytiquement la compréhension ».
– Les mathématiques sont en partie déjà écrites et d’autre part en train de s’écrire
– Buts, intentions, désirs, croyances, affects, valeurs, normes, etc. font partie du vocabulaire dont nous disposons pour décrire ce que nous faisons, ce que P. Ricœur appelle « sémantique de l’action » (Ricœur, 1977a) et J. Searle « vocabulaire de l’Intentionnalité » (Searle, 1985).
– La conception de la « marche ensemble » implique la conception des conséquences : le sens des choses réside dans les conséquences qu’elles produisent quand elles sont en interaction avec d’autres choses spécifiques. Le cœur de la méthode expérimentale est la détermination du sens des choses observées au moyen de l’institution délibérée de modes d’interaction. (Dewey, 1993, p. 615)
– L’enquête est un ensemble d’opérations faites ou à faire pour lever un doute, fixer une croyance (c’est-à-dire une disposition à agir, ou une habitude d’action) ou résoudre une situation problématique (parce qu’incertaine, instable, confuse ou conflictuelle) — Nécessité des exercices mathématiques
– en leur faisant prendre l’habitude de l’enquête comme méthode de fixation des croyances et des valeurs, et de résolution des problèmes, plutôt que celle de l’autorité ou de la ténacité, ou encore de la méthode « a priori ». Plus largement, il s’agit de permettre à l’expérience commune de se doter « de méthodes susceptibles de lui assurer la maîtrise d’elle-même et la création de critères propres de jugement et de valeur » (Dewey, 2012, p. 67).
– Et il ne suffit pas de modifier les états mentaux des acteurs pour réduire le doute et la confusion. Il faut aussi transformer la situation, la rendre plus claire, plus unifiée, plus cohérente.